Réflexion sur la résilience profonde de la nature, qui trouve toujours sa voie, qui survit et se développe en s’adaptant sans cesse alors même qu’elle subit de plein fouet les contraintes des hommes et les ravages de ses constructions, de ses pollutions. Un contraste fort se créée entre les racines, les feuilles, les arbres et les formes organiques du monde végétal et les lignes droites, les formes rigides et stériles de la société humaine.
La nature évolue et survit. Cette toile évoque pour moi l’arbre qui résiste aux pluies acides et polluantes, qui l’enferment dans un cadre difficile.
Toujours là, il est mutant, ses couleurs en deviennent surnaturelles.